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Plus que tout autre soin horticole, l'arrosage des tomates influence directement la santé de vos plants, l'abondance de votre récolte et la qualité gustative de vos fruits. À l’inverse, un arrosage des tomates mal maîtrisé peut rapidement compromettre votre culture, notamment par une baisse de rendement ou par une recrudescence des maladies. Importance de l’arrosage des tomates, besoins évolutifs, fréquences optimales, systèmes adaptés, astuces et guides pratiques… Aujourd'hui, découvrez tous les secrets pour maîtriser l'arrosage des tomates, de la plantation jusqu'à la récolte !
Vous venez d'achever la plantation de vos tomates en pleine terre, en pot ou sous serre et vous vous interrogez sur leur arrosage ? Cette préoccupation est tout à fait légitime.
Et pour cause, étant composées à plus de 90 % d'eau, il est logique que les tomates aient des besoins hydriques importants tout au long de leur croissance pour se développer harmonieusement.
Ainsi, tout au long de son cycle de biologique, l’arrosage des tomates repose sur un équilibre délicat : suffisamment d'eau pour soutenir leur développement, mais sans excès pour ne pas augmenter les pathogènes ou risquer de diluer leurs saveurs.
Avant toutes les considérations techniques en matière d’arrosage des tomates, une règle d’or, quasi absolue, prévaut sur toutes : l’arrosage des tomates toujours au pied sans mouiller le feuillage !
En effet, cette méthode préserve la santé des plants en évitant le développement des maladies fongiques comme le mildiou favorisées par l'humidité sur les feuilles.
De plus, un arrosage au pied, lent et généreux, permet une pénétration profonde de l'eau jusqu'aux racines, encourageant ainsi leur développement.
Enfin, votre eau doit idéalement être à température ambiante, ni trop froide, ni trop chaude, pour éviter tout risque de chocs thermiques.
En termes de volumes, les besoins en eau des tomates varient considérablement selon différents paramètres. De manière générale, retenez que chaque pied de tomate requiert en moyenne 3 à 7 litres d’eau par semaine dans des conditions normales.
Si l’on détaille par stade de croissance, ceci correspond à l’équivalent de 0.5 litre par pied et par jour de la plantation à la fructification pour passer à une moyenne d’1 litre par pied et par jour jusqu’à la récolte.
Cette variation dépend de plusieurs facteurs tels que le stade de développement, la nature de votre sol et sa couverture ou non, les conditions météo ou encore votre mode de culture que nous détaillerons un peu plus loin.
Attention, notez dès maintenant que pour un sol non paillé et exposé à des conditions de chaleur, de sécheresse et d’évapotranspiration importantes, cette quantité moyenne peut varier du simple au triple !
Pour bien arroser les tomates au potager, adopter la bonne fréquence est essentiel. Néanmoins, comme pour de nombreuses pratiques potagères, il n’y a pas de vérité absolue et différentes approches sont possibles.
La méthode classique recommande deux arrosages de 2-3 litres par plant chaque semaine (soit tous les 3-4 jours) dans des conditions normales.
Cette approche privilégie la régularité et la modération, permettant un développement équilibré sans fluctuations hydriques stressantes.
Une approche alternative consiste à espacer davantage les arrosages tous les 5-7 jours / une fois par semaine, mais avec des volumes plus importants (4-5 litres).
Techniquement, cette dernière vise à créer un léger stress hydrique contrôlé qui incite la plante à développer un système racinaire plus robuste.
Appliqué tôt dans la saison (juste après la plantation et jusqu’aux premières chaleurs), ce stress modéré prépare les plants à mieux résister aux périodes de sécheresse ultérieures.
Toutefois, ici aussi, tout est question de mesure et d’équilibre. En effet, un stress hydrique prolongé ou trop intense risque de diminuer significativement les rendements en plus de favoriser l'apparition de désordres physiologiques comme la nécrose apicale ou cul noir de la tomate.
Enfin, quelle que soit la méthode choisie, ces fréquences de base doivent toujours être adaptées selon les facteurs spécifiques déjà évoqués précédemment (stade de croissance, météo, sol, paillage).
Le moment idéal pour arroser les tomates dépend principalement de votre climat local et varie selon les saisons.
Dans les régions tempérées à humides, privilégiez un arrosage matinal, idéalement entre 6 h et 9 h.
Cette pratique permet au feuillage de sécher rapidement au cours de la journée, réduisant significativement les risques de maladies fongiques comme le mildiou. L'eau a également le temps de s'infiltrer profondément avant les heures les plus chaudes.
Dans les régions méditerranéennes ou particulièrement chaudes, l'arrosage en fin de journée (après 18 h) devient préférable.
Il limite l'évaporation excessive et permet aux plantes de profiter pleinement de l'apport d'eau pendant la nuit, période où leur consommation ralentit. Évitez cependant d'arroser trop tard en soirée dans les climats humides, car l'humidité nocturne prolongée sur le feuillage favorise les maladies.
En période caniculaire, quel que soit votre climat, vous pouvez exceptionnellement procéder à un double arrosage. Autrement dit, léger le matin pour hydrater les racines, puis plus conséquent le soir pour reconstituer les réserves d'eau du sol.
Dans tous les cas, évitez absolument d'arroser en pleine chaleur (11 h-18 h), période où l'évaporation est maximale et où les gouttes d'eau peuvent même créer un effet loupe sur les feuilles, provoquant des brûlures.
L'observation attentive de vos plants constitue le baromètre le plus fiable pour ajuster vos pratiques d'arrosage.
Des feuilles légèrement tombantes aux heures chaudes qui retrouvent leur port normal en soirée indiquent un stress hydrique modéré, souvent bénéfique lors de la floraison.
En revanche, un flétrissement persistant, des feuilles enroulées vers l'intérieur, des fleurs qui tombent ou des tiges ramollies signalent un manque d'eau critique nécessitant une intervention immédiate.
Les conséquences d'un déficit prolongé incluent une réduction du rendement, l'apparition de nécrose apicale (cul noir) et une sensibilité accrue aux maladies.
À l'inverse, surveillez les signes d'excès : jaunissement du feuillage inférieur, éclatement des fruits, croissance luxuriante, mais fragile, ou taches brunes sur les tiges. Un excès chronique provoque l'asphyxie racinaire, favorise le mildiou et dilue la saveur des fruits.
Enfin, complétez toujours votre diagnostic visuel par un test tactile du sol. Pour ce faire, enfoncez votre doigt sur 5-10 cm de profondeur dans la terre autour du pied ; le sol doit être frais, mais jamais détrempé.
Couplés à la connaissance de votre sol et des conditions climatiques, ces indicateurs vous permettront d'affiner progressivement votre pratique d'arrosage des tomates.
Dans la section suivante, nous explorerons en détail comment adapter précisément vos pratiques selon ces différentes variables, afin d'optimiser l'utilisation de cette ressource précieuse tout en garantissant des récoltes abondantes et savoureuses.
La structure de votre sol détermine directement sa capacité à retenir l'eau et donc la fréquence d'arrosage nécessaire.
Les sols sableux possèdent une structure très poreuse qui permet un drainage rapide, mais offre une faible rétention d'eau.
Pour ces sols, privilégiez des arrosages plus fréquents, mais moins abondants en fonction des besoins pour éviter que l'eau ne descende trop rapidement hors de portée des racines.
À l'inverse, les sols argileux agissent comme une éponge compacte avec une forte rétention d’eau.
Pour ces sols, vous pouvez vous permettre d’espacer vos arrosages, tout en apportant des volumes normaux à élevés à chaque fois en fonction des besoins. L'eau sera alors progressivement disponible pour les plantes sans risque de lessivage.
Pour identifier votre type de sol, vous pouvez réaliser un test simple : prélevez une poignée de terre légèrement humide et pressez-la.
Si elle forme une boule type pâte à modeler difficile à fragmenter, votre sol est argileux. Si elle forme une boule friable qui se désagrège facilement, il est plutôt limoneux. Si elle ne forme pas de boule et vous file entre les mains, il est sableux.
Ainsi, les sols limoneux offrent un équilibre idéal et permettent généralement des arrosages modérés tous les 2 à 3 jours.
Le climat de votre région et les conditions météorologiques quotidiennes sont des facteurs clés à prendre en compte pour adapter finement votre arrosage.
Combinaison de l'évaporation directe du sol et de la transpiration des plantes, l'évapotranspiration constitue le principal moteur des besoins hydriques des tomates. Ce phénomène s'intensifie considérablement avec la chaleur, le vent et le faible taux d'humidité.
Dans les régions chaudes, les besoins d’arrosage des tomates peuvent facilement doubler par rapport aux régions tempérées. Une journée à 30-35 °C avec vent sec peut nécessiter jusqu'à 6 litres d'eau par plant mature, contre 2-3 litres par temps couvert à 25 °C.
Particulièrement insidieux, le vent augmente fortement l'évapotranspiration même quand les températures restent modérées.
Vous l’aurez compris, ici la logique consiste à adapter votre arrosage en fonction des conditions météorologiques.
Concrètement, intensifiez l’arrosage des tomates avant et pendant une vague de chaleur, réduisez-le après des pluies importantes, et soyez particulièrement vigilant durant les périodes venteuses, souvent sous-estimées dans leur effet desséchant.
Au fil de leur croissance, les plants de tomates traversent différents stades clés de développement. Chacune de ces étapes, de la plantation à la récolte, s'accompagne de besoins en eau spécifiques. Décryptage de cette évolution pour un arrosage optimal à chaque stade.
Au moment de la plantation, un apport généreux (5-10 litres juste avant et juste après) crée une réserve initiale, puis les besoins diminuent pendant 2-3 semaines pour encourager le développement racinaire profond.
Durant la phase végétative, maintenez un apport régulier, mais modéré (2-4 litres/semaine/plant).
Ensuite, la floraison représente une période critique : un léger stress hydrique peut favoriser la formation des fleurs, mais un manque prononcé provoquera leur chute.
C'est pendant la nouaison et le grossissement des fruits que les besoins atteignent leur maximum : 3-7 litres/semaine/plant, voire davantage en conditions chaudes.
Paradoxalement, en phase finale de maturation, une légère réduction des apports concentre les sucres et améliore la saveur, à condition de ne pas provoquer de flétrissement marqué.
La façon dont vous cultivez vos tomates, en pleine terre, en pots ou sous abri, influence grandement la gestion de l'arrosage.
Les tomates cultivées en contenants (pots, carrés potagers, bacs, jardinières) présentent des besoins particuliers.
Avec un substrat limité et qui sèche plus vite, ces dernières peuvent nécessiter des arrosages quotidiens en été, contre tous les 2-3 jours pour une culture en pleine terre. Ici, le test journalier du doigt dans le terreau est indispensable pour évaluer les besoins.
Sous serre ou tunnel, l'absence de pluie naturelle et les températures plus élevées imposent une vigilance accrue. Paradoxalement, l'humidité peut parfois s'y accumuler, favorisant les maladies fongiques. Privilégiez alors un arrosage matinal avec une bonne ventilation.
Enfin, la densité de plantation influence également les besoins d’irrigation. En effet, des plants très rapprochés entrent en compétition pour l'eau disponible, nécessitant ainsi un arrosage plus soutenu et régulier.
Un arrosage régulier au pied de la plante, idéalement en début de matinée ou en soirée, ainsi qu'un bon paillage sont plus que recommandés.
Enfin, l'apport de purins naturels (ortie, consoude) renforcera cette variété à la fois robuste et sensible
Si vous vous trouvez dans une région chaude et souhaitez économiser de l’eau tout en maintenant une forte productivité, certaines variétés de tomates sont résistantes à la sécheresse et nécessitent moins d’arrosage !
C’est par exemple de cas de la tomate Roma, de la Marmande, ou encore de la Noire de Crimée !
Pour les tomates, l'arrosage au goutte-à-goutte représente la solution la plus efficace et la plus économique. Ce système permet une distribution lente et régulière de l'eau directement au pied des plants, annulant tout risque de mouiller le feuillage.
Malgré un investissement initial potentiellement important, l’arrosage des tomates au goutte-à goutte permet une économie d'eau considérable jusqu’à - 70 % par rapport à l'arrosage manuel.
Les goutteurs, réglés sur le débit de votre choix (ex : 2-4 litres par heure pendant 2-3 heures le matin ou le soir), peuvent être programmés selon vos besoins, parfait en cas d’absence.
Combiné à un bon paillage, il constitue la solution la plus performante pour optimiser l'arrosage des tomates tout au long de la saison.
Les oyas et autres systèmes de bouteilles d’eau enterrées constituent une alternative écologique et économique.
Ces réservoirs en terre cuite ou bouteilles percées, retournées et enterrées aux deux tiers près des plants, diffusent l'eau progressivement par capillarité.
Un oya de 3-4 litres ou une grosse bouteille de 5 litres enterrée peuvent maintenir une humidité constante pendant 3-5 jours. Cette méthode est particulièrement adaptée aux petits potagers et permet une irrigation ciblée sans gaspillage.
Bien que plus chronophage si vous cultivez beaucoup de plants de tomates, l'arrosage traditionnel au pied offre un contrôle précis des apports en eau. En effet, il permet d'adapter instantanément les quantités selon les besoins observés.
Pour optimiser cette méthode, créez une cuvette de 30-40 cm de diamètre autour de chaque plant et arrosez lentement pour permettre une pénétration profonde de l'eau.
Pour ce faire, vous pouvez utiliser un arrosoir de 3-5 litres adapté pour un arrosage complet par pied. L’autre solution consiste à utiliser un tuyau d'arrosage muni d'une lance réglée sur un débit faible pour un apport localisé.
Enfin, nous ne détaillerons pas les autres solutions moins adaptées à l’arrosage des tomates telles que l’arrosage par aspersion qui mouille le feuillage et favorise les maladies, ainsi que les tuyaux microporeux à la diffusion parfois irrégulière.
Type d'arrosage | Coût initial | Économie d'eau | Entretien | Autonomie | Avantages | Inconvénients | Utilisation |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Goutte-à-goutte | Moyen/Élevé | +++ | Important | +++ | Irrigation précise et automatisée | Installation complexe, risque de bouchage | Idéal sous serre, longue durée |
Oyas/Bouteilles | Faible | ++ | Modéré | ++ | Simple, écologique | Recharge régulière nécessaire | Petit potager, courte absence |
Arrosage manuel | Très faible | + | Nul | - | Contrôle total, pas d'installation | Chronophage, risque de distribution irrégulière | Petit nombre de plants |
Vous possédez désormais toutes les clés pour un arrosage optimal de vos tomates. Place maintenant à la pratique ! Découvrez nos conseils concrets adaptés à votre mode de culture, pour un succès garanti de vos plants en pleine terre, en pot ou sous serre.
Comme nous l’avons découvert précédemment, l'arrosage des tomates en pleine terre s’adapte à la fois aux conditions climatiques, mais aussi au stade de développement de vos pieds.
Si les conditions météo le permettent, espacez légèrement votre prochain arrosage (+ 7 jours) pour stimuler un meilleur enracinement, jusqu'à ce que vos pieds connaissent un premier léger stress hydrique.
Par la suite, visez 2 à 3 arrosages par semaine en fonction de la météo, à raison de 3-4 L par plant / semaine en début de saison, puis 5-6 L par plant / semaine durant la phase de fructification.
La culture en pot ou en carré potager nécessite une vigilance accrue quant à l'arrosage des tomates. Vérifiez quotidiennement l'humidité du substrat en enfonçant votre doigt jusqu'à la deuxième phalange.
Si le terreau est sec, arrosez lentement jusqu'à ce que l'eau s'écoule par les trous de drainage. N’hésitez pas à associer ce dernier à des billes d'argile au fond du pot qui amélioreront la rétention d'eau.
Paillez généreusement et utilisez des pots de grande taille (40×40 centimètres minimum) pour limiter l'évaporation.
Enfin, pour un carré potager classique d’1 m × 1 m, limitez le nombre de plants (1 à 2 maximum) pour réduire les besoins en arrosage, tout en augmentant la productivité !
L'environnement confiné d'une serre modifie considérablement les besoins hydriques des tomates.
La température plus élevée et l'absence de pluie imposent des apports plus réguliers, idéalement via un système goutte-à-goutte programmé.
La ventilation joue également un rôle crucial : ouvrez tôt le matin et fermez tard le soir pour éviter la condensation nocturne.
Arrosez de préférence le matin pour que l'excès d'humidité s'évapore durant la journée. Paillez systématiquement et pensez à blanchir partiellement la serre en été pour réduire les températures extrêmes.
Surveillez particulièrement l'humidité ambiante : un taux élevé combiné à une forte chaleur favorise les maladies même avec un arrosage au pied impeccable.
Quelle que soit la méthode de culture, quelques principes fondamentaux s'appliquent :
Pour la tomate et pour tous les autres légumes du jardin, le paillage constitue la pierre angulaire d'un arrosage efficace.
En effet, une couche de 10-15 cm de paille, de foin ou de BRF ou encore l’utilisation d’un géotextile de type bâche tissée réduit considérablement l'évaporation avec des économies d’eau pouvant aller jusqu’à 50 % et plus !
Pour une efficacité maximale, installez le paillage sur un sol préalablement bien humidifié, idéalement au moment de la plantation. Maintenez une zone dégagée de 5-10 cm autour des tiges pour éviter les maladies du collet.
Ce paillage vous permettra non seulement d'espacer significativement vos arrosages, mais garantira aussi une humidité constante en surface et en profondeur.
Enfin, les paillages organiques présentent l'avantage supplémentaire de se décomposer progressivement, enrichissant le sol en humus tout en stimulant l'activité biologique.
Pour en savoir, n'hésitez pas à consulter notre guide complet sur le paillage des tomates au potager !
Gratuite, naturellement douce, à température ambiante et exempte de produits chimiques, l'eau de pluie représente la solution idéale pour l'arrosage des tomates. En effet, un système simple de récupération peut couvrir une grande partie des besoins d’arrosage.
Ainsi, si votre jardin est de petite ou de moyenne taille (100-150 m² cultivé au maximum) une cuve de stockage de 1 000 litres qui se remplira durant l’automne et l’hiver suffira largement pour l’arrosage de vos pieds de tomates !
Pour terminer ce guide, focus sur les innovations technologiques d’irrigation intelligentes (dans notre cas de mesure), qui permettent une gestion plus précise et économe de l'arrosage des tomates.
Les capteurs d'humidité du sol mesurent la teneur en eau réelle à différentes profondeurs, permettant un arrosage des tomates parfaitement dosé pour leur santé et évitant tout gaspillage.
Enfin, plus rudimentaires, mais tout aussi intelligents, les pluviomètres à planter vous permettent de mesurer précisément combien de millimètres d’eau sont tombés depuis votre dernier passage, permettant ainsi ici aussi un prochain arrosage parfaitement adapté !
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